L’Institut FAI, organise un programme de renforcement des capacités des femmes dans le domaine de l’IA
L’Institut FAI, une initiative du spécialiste de l’intelligence artificielle Flapmax, organise un programme de renforcement des capacités des femmes dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). La formation, couverte par un programme de bourses, comprend un cours virtuel de quatre semaines, avec des laboratoires pratiques, enseignants, les outils de l’industrie pour des solutions pratiques d’IA, apprend-on.
Depuis 2010, le développement de l’intelligence artificielle a été accéléré par le big data. Domaine de l’informatique qui cherche à créer des systèmes capables de réaliser des tâches qui nécessiteraient normalement l’intelligence humaine, l’IA est souvent considéré comme un concept vaste et multidimensionnel, difficile à définir précisément en raison de sa nature étendue et sa constante évolution.
Ainsi, dans le but d’aider les organisations et les femmes à découvrir le pouvoir impactant de la technologie, de faire progresser le potentiel humain grâce à des programmes d’apprentissage et de formation expérientiels conçus pour la main-d’œuvre moderne, Flapmax, organise un programme de renforcement des capacités des femmes dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Les participantes analyseront de grands ensembles de données et utiliseront des bibliothèques d’apprentissage automatique pour développer des modèles d’IA pour les entreprises.
Le programme est ouvert à toutes les femmes, mais donne la priorité aux candidates intéressées par l’IA générative ayant une connaissance fondamentale de la science des données ou de la programmation informatique. Elles peuvent être des étudiantes universitaires ou des professionnels en activité à condition d’être disponibles pour l’ensemble du programme : mai – août 2024, rapporte agenceecofin.
Le programme bénéficie du soutien de Wentors, une communauté mondiale dédiée à la croissance des femmes dans la technologie, aide à renforcer les talents non-conventionnels, à lutter contre les faibles taux d’emploi et à aborder la question de la diversité et de l’inclusion.
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Danielle N.
